Pendant une certaine période de ma vie professionnelle, j’ai souffert littéralement de suffocation, d’une impression de souffle court en arrivant au bureau le matin. Je ressentais physiquement un manque d’air qui me paralysait, jusqu’à la crise de panique parfois… Ce sentiment d’étouffer m’a accompagnée jusqu’à ce que je prenne la décision de m’émanciper de ce travail. J’ai découvert alors la Cohérence cardiaque. Une pratique qui m’accompagne chaque jour pour me rééquilibrer et qui m’amène aujourd’hui à m’intéresser à l’art de la respiration pour mieux vivre au quotidien.

Dans son best-seller Respirer, le journaliste scientifique James Nestor nous embarque dans une investigation étonnante à la découverte de l’art oublié de la respiration. Il nous apprend notamment que 90 % d’entre nous ne respirons pas comme il le faudrait et que ce dysfonctionnement provoque ou aggrave une longue liste d’affections chroniques. Ses recherches montrent qu’un des piliers de la santé est le souffle. Toutes les 3,3 secondes, qui est la fréquence de respiration moyenne de la plupart des gens, notre corps se transforme. Car les milliards de molécules que nous inhalons à chaque respiration contribuent à construire nos os, nos tissus musculaires, notre sang, notre cerveau et tous nos organes.

J. Nestor parle d’art oublié lorsqu’il évoque la respiration dans la mesure où la plupart des techniques qu’il présente dans son livre remontent à la plus haute antiquité. Elles ont été décrites, documentées puis oubliées et redécouvertes au fil des époques.

« Respirer ne se limite pas à faire entrer de l’air dans notre corps. La respiration, c’est notre relation la plus intime au monde qui nous entoure. […] En respirant, nous nous ancrons pleinement dans le monde qui nous entoure pour y puiser des particules de vie, les comprendre et laisser en retour un peu de nous-même. La respiration, c’est essentiellement un mouvement de réciprocité. »

Le grand secret de la vie : toujours respirer par le nez

Le nez est un organe essentiel parce qu’il filtre l’air, le réchauffe et l’humidifie pour faciliter son absorption. Avez-vous remarqué que nos narines s’ouvrent et se ferment à leur propre rythme, comme une fleur, en fonction de notre humeur, de notre état mental et, potentiellement, de la position de la lune et du soleil ?

Pour fonctionner de façon optimale, notre corps doit se trouver dans un état d’équilibre, entre action et relaxation, entre rêverie et pensée rationnelle. Il semblerait que cet équilibre soit influencé, voire directement contrôlé par le « cycle nasal »…

J. Nestor a découvert dans un ancien texte tantrique que l’une de nos narines s’ouvre parfois pour laisser passer l’air toute la journée, tandis que l’autre se ferme imperceptiblement. Certains jours, la narine droite se réveille en bâillant pour saluer le soleil ; d’autres jours, la gauche se réveille à la rondeur de la lune. Selon ce texte, ces rythmes sont les mêmes sur un mois et identiques pour l’humanité tout entière. Ce phénomène selon lequel nos narines pulsent à leur propre rythme, nommé « cycle nasal », a été vérifié par le monde scientifique.

« Le nez est un héros discret, le gardien des portes de notre corps, l’apothicaire de notre esprit, le baromètre de nos émotions… »

La magie du nez n’avait pas échappé à nos ancêtres. Vers 1500 avant J.-C. l’un des plus anciens textes médicaux jamais découverts explique que les narines sont censées amener l’air jusqu’au cœur et aux poumons, et non la bouche. Mille ans plus tard, la Genèse affirme que « l’Eternel Dieu forma l’homme de la poussière de la terre, il souffla dans ses narines un souffle de vie et l’homme devint un être vivant ». Un texte du Tao chinois, daté du VIIIe siècle avant notre ère, notait que le nez était la « porte céleste » par laquelle nous devions respirer. « N’y dérogez jamais nous avertit ce texte, sans quoi votre respiration est en danger et la maladie s’installe ».

Respirer la vie du bon côté nécessite donc de respirer par le nez ! Et pour cela, pas d’autre alternative, il faut fermer la bouche ! Selon les recherches menées par J. Nestor, respirer par la bouche est une abomination. Si le corps humain a développé deux canaux respiratoires, c’est pour augmenter nos chances de survie en permettant à la bouche d’être une ventilation de secours lorsque le nez est obstrué.

Expirez à fond et respirez lentement

La phase la plus importante de la respiration ne consiste pas juste à inspirer de l’air par le nez. L’inspiration, c’est la partie la plus facile ! La clé de la respiration, de l’expansion des poumons et de la longévité se situe à l’autre bout du processus, dans le pouvoir transformateur d’une expiration complète.

Il s’agit de bien vider l’air de poumons afin d’en absorber davantage, en apprenant à ralentir et à prolonger l’expiration. Allonger chaque souffle de façon à utiliser 50 %, voire 70 % de l’amplitude du diaphragme permet de relâcher le stress cardiovasculaire et entraîne un meilleur fonctionnement du corps. C’est pourquoi on appelle le diaphragme le « deuxième cœur », car lui aussi est soumis à un battement qui affecte le rythme et la puissance de notre cœur.

Pour J. Nestor, « la respiration est un peu comme l’aviron : en donnant une multitude de coups de rame, vous finirez par arriver où vous voulez, mais vous gagnerez en vitesse et en efficacité si vous donnez des coups de rame plus longs, quoique moins nombreux ».

Il compare également la respiration lente à la prière. Dans toutes les cultures et les religions, on retrouve les mêmes techniques de prière nécessitant les mêmes schémas respiratoires s’allongeant sur 6 secondes et procurant le même effet apaisant sur ceux qui les pratiquent.

La cohérence cardiaque est née de travaux de recherche dans lesquels on mesurait les trois systèmes (respiratoire, cardiaque, nerveux) de volontaires à qui on faisait réciter des prières. A chaque fois qu’ils adoptaient ce rythme ralenti, le sang affluait vers leur cerveau et ces trois systèmes entraient dans un état de cohérence et donc d’efficacité optimale.

L’équation quasi magique de la cohérence cardiaque, ou de « respiration parfaite », comme la nomme J. Nestor, consiste à inspirer 5,5 secondes, puis expirer 5,5 secondes. Cela revient à 5,5 cycles respiratoires par minute pour un total d’environ 5,5 litres d’air. Dès 5 à 10 minutes d’exercice par jour, les résultats sont probants.

Par ailleurs, la cohérence cardiaque requiert très peu de temps, d’effort ou de capacité de concentration. On peut la pratiquer n’importe où, n’importe quand. A bien des égards, cette technique de respiration offre les mêmes bénéfices que la méditation ou le yoga. L’auteur préconise cette respiration parfaite au quotidien, comme on s’étire après être resté assis trop longtemps ou bien pour se calmer quand on est stressé.

« L’apaisement de la prière, sans la dimension religieuse ! »

Surtout, n’oubliez pas de respirer !

Est-ce que, comme je l’ai vécu il y a quelques années, vous aussi, il vous arrive de ressentir cette sensation d’étouffement ?

J. Nestor a découvert que les personnes anxieuses souffrent d’un problème de connexion entre leurs chémorécepteurs (récepteurs reliés au système nerveux) et leurs amygdales cérébrales au point qu’elles retiennent leur souffle tout au long de la journée. Il faut attendre que leur corps soit saturé en dioxyde de carbone pour que leurs chémorécepteurs se mettent en état d’alerte et ordonnent au cerveau de déclencher immédiatement le réflexe respiratoire. Les personnes reprennent alors leur souffle dans un état de panique, un peu comme si elles avaient échappé à la noyade.

La respiration lente et régulière est très efficace pour réguler notre état d’anxiété, a fortiori lorsqu’il est rendu chronique par une situation stressante durable.

L’art de la respiration a des vertus préventives. Cela permet de maintenir un équilibre dans le corps, de façon que les problèmes bénins ne dégénèrent pas en pathologies plus graves. La respiration permet aussi, souvent, de rétablir cet équilibre s’il est momentanément perturbé. Apprendre à respirer mieux permet de vivre une vie plus saine.

Comme nous y invite J. Nestor : « Quand nous respirons, nous augmentons notre force de vie ».

Avec ce billet résolument moins « fouillé » que mes articles habituels, je fais l’expérience du « minimalisme » ce mois-ci. Cet exercice me sort de ma zone de confort et de mon besoin de creuser, d’explorer en profondeur les sujets que je vous partage. En vérité, le thème de la respiration se prêtait bien à un article court et léger… C’est mon cadeau de Noël, pour vous inviter à vivre les fêtes de fin d’année avec douceur et allégresse.

Lorsque vous vous apprêtez à partir travailler le matin, ou avant un rendez-vous important, vous prenez soin d’ajuster votre coiffure ou votre tenue, d’un rapide coup d’œil dans le miroir… Juste pour vérifier que votre apparence et votre allure sont adaptés à votre programme de la journée. Et bien pour l’intention, c’est pareil ! Avant de prendre la parole ou en prévision de l’animation d’une réunion ou d’un rendez-vous, prenez-vous soin de vous aligner avec votre intention ? En d’autres termes, vous posez-vous la question de ce qui fait sens pour vous, de ce qui vous met en action, jour après jour ? Si on va plus loin sur l'intention, avez-vous conscience de la volonté profonde qui vous anime et guide votre vie, votre raison d'être ?

Mon premier contact avec l’intention s’est manifesté il y a une quinzaine d’années lors d’une formation au management particulièrement inspirante à laquelle tous les managers intermédiaires de mon organisation participaient. Il s’agissait des prémices de l’équicoaching, à savoir, à partir de l’éthologie équine - l’étude du comportement des chevaux - apprendre à communiquer avec le cheval. Cette expérience a été extrêmement marquante pour moi, comme pour tous les participants d’ailleurs ! Seule face au cheval, au milieu du manège, les yeux de tous mes collègues rivés sur moi, la consigne consistait à communiquer au cheval mon intention de le mettre en mouvement, sans prononcer le moindre mot... Autant vous dire que ça n’a pas été chose aisée ; mais après de nombreux efforts, le cheval a fini par bouger. J’ai compris, bien des années plus tard, pourquoi le cheval n’avait pas été immédiatement sensible à l’intention que je lui exprimais alors. J’ai saisi que cette intention ne pouvait pas être lisible pour le cheval car j’étais moi-même, tiraillée entre deux intentions ambivalentes : la première, ma priorité en réalité, consistant à réussir l’exercice devant mes collègues et la deuxième étant effectivement de faire bouger le cheval. Il est clair que le cheval ne se sentait pas concerné par ma première intention !

Dans mes accompagnements individuels, lorsque je refais l’histoire de l’échec d’une communication, d’une réunion inefficace, d’un défaut d’engagement d’un collaborateur sur sa mission…, dans la majorité des cas je décèle un manque de clarté sur l’intention de mon interlocuteur, voire la cohabitation de deux intentions ambivalentes qui viennent brouiller les pistes du message délivré ou de la décision à prendre. J’ai donc décidé d’inviter systématiquement les personnes que j’accompagne à clarifier leur intention et je constate que cette pratique produit de fabuleux résultats en termes de prise de conscience, d’enthousiasme et de pouvoir agir. « C’est de la folie ! », a déclaré récemment une responsable RH suite à notre échange…

L’intention, une force et un champ d’énergie que nous portons tous

Concrètement, de quoi parlons-nous lorsque nous évoquons notre intention ? Dans son ouvrage : Le pouvoir de l’intention, Wayne Dyer, docteur en psychologie et psychothérapeute américain, désigne l’intention comme « un but ou un dessein clairement affirmé, accompagné de la détermination à obtenir le résultat désiré ». Pour lui, l’intention est une force que nous portons tous en nous, un champ d’énergie qui se déploie au-delà de nos repères habituels. Cette puissante énergie que nous ressentons lorsque nous sommes inspirés… L’énergie de l’intention nous propulse vers notre potentialité à vivre une vie pleine de sens.

L’intention ne se trompe jamais. Encore faut-il l’activer ! Pour ce faire, nous devons apprendre à identifier comment nous créons, à notre insu, nos propres obstacles à l’atteinte de notre intention. Notre façon d’envisager la vie est essentiellement fondée sur ce que nous croyons mériter et être capable d’accomplir, ou encore le résultat d’une influence extérieure comme notre famille, notre communauté… En conséquence, nous devons modifier nos pensées réflexes focalisées sur « ça a toujours été comme ça » ou « voilà ce que l'on attend de moi », influencées par ce petit compagnon qui ne nous quitte jamais d’une semelle : notre ego. Nous devons prendre conscience que l'intention est un pouvoir avec lequel nous pouvons entrer en contact, non quelque chose que notre ego doit accomplir. Et éliminer de nos pensées les conditions préalables, les limitations et les possibilités d'échec.

Selon W.Dyer : « En bannissant le doute et en faisant confiance à votre intuition, vous devez dégager un espace qui permet au pouvoir de l’intention de s’infiltrer en vous ».

Pour se connecter à son intention, sortir de l’emprise de l’ego

Comme nous y engage W.Dyer : « Chacune de vos pensées possède une énergie qui peut soit vous renforcer, soit vous affaiblir. De toute évidence, il convient d’éliminer les pensées qui vous affaiblissent, puisque ces pensées sont des obstacles qui vous empêchent de vous accorder avec votre intention ».

Pour cela, il faut cesser de s’identifier à notre ego et atteindre un niveau de conscience qui rend les choses possibles. L’ego est la représentation que nous avons de nous-même. Il donne une vision de ce que nous croyons être et pas de ce que nous sommes en réalité. L’ego nous ramène à nos croyances limitantes et agit ainsi sur notre mental en prenant le contrôle de nos pensées, raisonnements, émotions, désirs… Quand nous éprouvons du stress et de l’anxiété, nous pouvons être assuré que c’est le jeu de notre ego. Le stress est la conséquence d’un affaiblissement du lien qui nous unit à l’intention. En étant de mauvaise humeur, nous demeurons dans un champ d’énergie qui oppose de la résistance à tout changement positif. Le stress et l’anxiété n’étant que des effets secondaires de cette résistance. Chacune de nos pensées possède une énergie qui peut soit nous affaiblir, soit nous renforcer ; à nous de faire peser la balance du bon côté de l’énergie ! Nos émotions sont donc un excellent baromètre pour détecter nos résistances et évaluer notre capacité à connaître le succès.

Pour sortir de l’emprise de l’ego et atteindre un niveau de conscience qui nous permet d’être connecté à notre intention, W. Dyer nous propose cinq voies à travers lesquels nous projeter dans la vie :

« Vous ferez ainsi la connaissance d’un monde qui souhaite votre réussite au lieu d’un monde qui conspire contre vous. »

« Le secret pour concrétiser tout ce que vous désirez tient à votre volonté et à votre capacité à vous réaligner afin que votre monde intérieur soit en harmonie avec le pouvoir de l’intention. Ce dernier attend simplement que vous fassiez le premier pas. »

« Pour réussir à manifester une idée dans votre réalité, vous devez être prêt à faire un saut dans l’inconcevable, puis à retomber sur vos pieds, en contemplant non pas ce qui vous manque, mais ce que vous souhaitez obtenir. »

« Vous devez croire que vous avez reçu tout ce dont vous avez besoin […] et vous traiter vous-même comme si vous étiez déjà la personne que vous aimeriez devenir. »

« Commencez à vivre pleinement le seul moment qui est réellement le vôtre : le moment présent ! »

W. Dyer nous invite à sentir l’intention, à entrer en contact avec elle, la connaître et lui faire confiance : « L’intention est une prise de conscience intérieure que nous ressentons explicitement comme telle, même si nous ne pouvons la décrire adéquatement avec des mots ».

L’intention, c’est un cadeau que vous vous faites à vous-même, et bien au-delà…

Comme je le soulignais au début de cet article, s’aligner avec son intention demande un entraînement quotidien. En étant à l’écoute de ses émotions, chaque jour est l’occasion de s’accorder un peu plus avec son intention, de la nourrir de « petites intentions » qui vont contribuer à construire sa raison d’être. Chaque matin, projetez-vous sur l’intention à travers laquelle vous avez envie de vivre votre journée ; appréhendez votre programme, vos rencontres, en capitalisant sur les émotions positives que vont générer ces moments.

« Lorsque vous êtes suffisamment éveillé pour vous interroger sur votre raison d’être et vous demander comment la définir, c’est le signe que vous êtes inspiré par le pouvoir de l’intention. »

Vous l’avez bien compris, se connecter à son intention requiert de la discipline. Autant que possible, cela nécessite de simplifier sa vie en se débarrassant de ses pensées limitantes pour repousser les frontières de sa réalité. Et ainsi, être en mesure de s’épanouir à travers ce que nous aimons faire et ce dans quoi nous excellons. Car c’est bien là, le chemin de l’intention : s’aligner avec ses désirs les plus profonds en se connectant à son intelligence créatrice pour les réaliser.

Personnellement, j’ai pu vivre pleinement cette expérience lorsque j’ai pris conscience que je n’étais plus alignée avec le métier que je pratiquais depuis plus de vingt ans et l’environnement qui s’y rattachait. [à lire aussi : Quand tout devient possible ! Un message d’espoir dédié à toutes celles et ceux qui se mettent en mouvement…] Tiraillée par mes émotions négatives, il m'a fallu du temps et de nombreux questionnements pour trouver le chemin vers mon intention. Lorsqu’enfin j’ai eu le déclic de ce qui faisait sens pour moi, je me suis découvert une forme d’intelligence intuitive, comme une boussole intérieure, qui me guidait vers les bonnes décisions, les bonnes personnes… en pleine confiance. J’étais connectée à mon intention !

« Lorsque vous êtes inspiré par un but élevé, tout se met à fonctionner pour vous. […] Ce qui semblait risqué devient une avenue que vous ne pouvez vous empêcher d’explorer. Il n’y a plus de risque, car vous agissez dans la joie. »

En nous connectant à notre intention, nous faisons le choix délibéré de nous sentir bien, de favoriser les pensées qui mettent de bonne humeur et de nous laisser porter par l’énergie de l’enthousiasme et de la passion. En résumé, de renouer avec la joie qui est notre état naturel. Gardons à l'esprit qu'il n’est pas nécessaire d’avoir une raison pour être heureux, le désir de l’être suffit… A fortiori si on prend conscience que nos pensées et nos actions ont également un impact sur les autres. Ainsi, en étant en harmonie avec notre intention, nous devenons un vecteur d’harmonie pour ceux qui nous entourent. Rappelons nous que nous ne sommes pas seuls, que l'on ne peut rien accomplir sans les autres car c'est à travers eux que nous découvrons qui nous sommes... La façon dont nous voyons les autres est une projection de la façon dont nous nous voyons nous-même. Traitons donc les autres comme des co-créateurs de notre intention.

« Dans cet univers où tout est étroitement lié, chaque amélioration que nous apportons dans notre sphère privée améliore le monde dans son ensemble ».

Pour faire de votre intention une réalité, confrontez-là aux 7 visages

W.Dyer, décrit l'intention à travers sept visages :

Pour se connecter au pouvoir de l'intention, nos émotions et nos comportements doivent être en harmonie avec ces sept visages : créativité, bonté, amour, beauté, expansion, abondance, réceptivité... Un beau chemin de vie !

Sensation d’étouffement, palpitations cardiaques, blocage du plexus solaire… sont autant de réactions liées aux stress et à l’anxiété que nous avons tous ressenties, voire que nous ressentons régulièrement dans le cadre du travail.

En situation de stress, difficile de rester concentré et d’être efficace sur une activité, de garder son calme en cas de contrariété, de peser le pour et le contre d’une décision stratégique… Bref, il est indispensable d’apprendre à gérer son stress.

Il faut savoir que lorsque nous subissons un stress extérieur, cela vient perturber la marche normale du système nerveux autonome. Et son dérèglement induit à son tour un dérèglement de la cohérence cardiaque avec tous les effets néfastes sur l’organisme que cela suppose, notamment lorsque les phases de stress sont importantes et régulières : augmentation des risques cardio-vasculaires, troubles digestifs, maux de tête…

Dans la mesure où nous pouvons difficilement prévenir les situations de stress, il est primordial d’agir sur ses effets en maîtrisant sa respiration pour réguler sa cohérence cardiaque. Cette technique simple, accessible à tous, consiste à enchaîner inspiration et expiration profonde par séquences de 5 secondes sur une période d’au moins 5 minutes.

Pour faciliter l’exercice, je vous recommande une application gratuite à télécharger sur son smartphone : Respirelax, qui permet de calmer son stress et son anxiété en 5 mn, partout où l’on se trouve. Il suffit d’être assis bien droit, les jambes décroisées pour libérer les organes de l’abdomen. C’est imparable !

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